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9 avril 2009

roman, Opium, Maxime Fermine, Albin Michel

L'Opium, la Vie, l'Amour, la Drogue, le Thé bleu...

C'est d'une plume légère, délicate, que l'auteur raconte cette histoire grave et qui pourtant fait sourire. Charles à la recherche du secret du thé bleu...

Maxime Fermine entraîne toujours le lecteur dans un tourbillon musical ou au son d'une douce musique.coupdecoeur

Maxime Fermine est né en 1968 en Haute-Savoie  et a vécu aussi à Paris et en Afrique.

Il est l’auteur de plusieurs romans et recueils de nouvelles :

- Sagesses et malices de Confucius le roi sans royaume, recueil de 42 nouvelles, Éditions Albin Michel-Jeunesse (novembre 2001), coécrit avec Olivier Besson


Amazone, roman, Éditions Albin Michel (février 2004), Prix Europe 1 2004
- Tango Massaï, roman, Éditions Albin Michel (février 2005)
- Le labyrinthe du temps, roman, Éditions Albin Michel (avril 2006)

- L’Apiculteur, roman, Éditions Albin Michel (aôut 2000), Prix del Duca et Prix Murat 2001

- Neige, roman, Éditions Arléa (janvier 1999)
- Le Violon noir, roman, Éditions Arléa (septembre 1999)
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9 avril 2009

Nouvelles, Le châle russe, Marie-José Caner, ed. Un Autre Reg'Art

Intemporel, onze nouvelles pour ado. ou jeunes filles. Le style, la couverture donnent le ton, un sujet grave - le secret concernant la filiation de Natacha, l'héroïne - les questionnements, les doutes, les angoisses de tous les ados. Fille, mère puis grand-mère l'auteure écrit depuis toujours.

Illustrations de Vincent Alric

Marie-José CANER est aussi l'auteure de REFLETS, paru en 1990 aux éditions SAINT-GERMAIN-DES-PRES,


7 avril 2009

Un Autre Regard... sur le Sud de la France

Les éditions Un Autre Reg'Art, d'Albi... m'intéressent tout particulièrement.

  • Sa collection Patrimoine & territoires permet de partager des émotions pour (re-)découvrir un territoire, à travers notamment un reportage photographique inédit.

Le Tarn, vu et raconté par René Gilabert - Le Lot, vu par René Gilabert et raconté par Jérome Poitte

  • Sa collection Reg'Art sur une ville : Cahors, Gaillac, Albi - vu par René Gilabert

4 avril 2009

Concours poésie : Véronique Deschamps

Véronique, des Pyrénées orientales, nous propose ce joli poème, un bel hommage à son amie...

A toi , Armelle, ma sœur …… de cœur !

La vie nous malmène
On a tous des problèmes
Qu’on soit nantis
Ou plein de soucis

Mais toi, tu as pris la peine
De rester la même
Envers et contre tout
Tu tiens bon malgré tout !

Le monde devient dément
Crise du logement
Pénurie d’argent
Et surtout de sentiments…

Mais toi, ma sœur
Tu es restée la même
Fidèle, sincère et intègre
Toi, ma sœur de cœur...

Nos chemins se sont croisés
Nos regards se sont accrochés
Nos passions se sont mélangées
Et nos vies resteront mêlées…

Mais toi, tu m’as ouvert
Ta maison, ton cœur, ta vie
Pour moi, à jamais tu seras
Mon amie … ma famille !

Un jour d’été ensoleillé
Tu as lié ta vie
Devant nous et l’humanité
A l’homme de ta vie !

Mais toi, ma sœur
Tu es restée la même
Tes émotions à fleur de peau
Pour moi sont des cadeaux

Dans ton petit nid d’amour
Avec ton tendre époux
Tout y est si doux
En harmonie pour toujours

Toi, ma sœur de cœur
Je te souhaite le bonheur
Pour des jours et des années
Jusqu’à l’éternité…

Sans ton soutien et ton amitié
Moi, la petite fleur égratignée
Saccagée et piétinée
Je n’aurai plus lieu d’exister !

La vie nous malmène
On a tous des problèmes
On est tous des écorchés vifs
Des handicapés de la vie …

Mais toi, tu as pris la peine
De me connaître et de m’aimer
Sans arrière pensée ni préjugé
Et à toi, ma sœur de cœur…
Je peux tout te donner !

Pour tout ce que tu es
Ce que tu donnes
Et ce que tu crées
Merci pour ta gentillesse innée !


31 mars 2009

Roman, Le roman de Cuba, L.-P. Dalembert, ed. DuRocher, 2009

JPDallembertL'auteur, grand voyageur, nous emmène à Cuba, terre de plaisir dans l'imaginaire occidental
         

découvrir les plages paradisiaques,
             fumer les meilleurs cigares,
                  déguster un rhum vieux,


danser au rythme d'une rumba, salsa ou d'un mambo,
            succomber aux femmes savoureuses,
                frimer au volant d'une grosse américaine rutilante.

Louis-Philippe Dalembert est né le 8 décembre 1962 à Port-au-Prince (Haïti).
Grand voyageur, son oeuvre, en prose et en poésie est marquée par les thématiques récurrents du vagabondage, de l'enfance et l'Ancien Testament.

Il a vécut dans les Amériques du Nord et du Sud, dans les Caraïbes, en Afrique du Nord et en Afrique noire,
au Moyen-Orient et en Europe -  à Paris, où il a réalisé ses  études universitaires et exercé en tant
que journaliste, à Rome ausi, pensionnaire de la très convoitée Villa Médicis (1994-95).

Quelques romans

  • L'Autre face de la mer. Paris: Stock 1998; Paris: Le Serpent à Plumes, 2005; Port-au-Prince: Presses Nationales d'Haïti, 2007.
  • L'Île du bout des rêves. Paris: Bibliophane/Daniel Radford, 2003.
  • Rue du Faubourg Saint-Denis. Monaco: Du Rocher, 2005.
  • Recueils de nouvelles

  • Histoires d'amour impossibles... ou presque.  Le Rocher, 2007. 
  • Le Songe d'une photo d'enfance. Paris: Le Serpent à Plumes, 1993
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    28 mars 2009

    Concours : Amour retrouvé, Jean-Philippe Herbaut

    Un très joyeux et heureux anniversaire à Jean-Philippe Herbaut, 49 ans aujourd'hui !

      Amour retrouvé

    La douceur de tes seins par mes mains caressés,
    La chaleur de ton flanc irradiant tout mon être
    Apaisent ma douleur et repoussent les spectres
    Qui me tourmentaient et m’avaient tant rabaissé.

    Tu m’as tendu la main, écouté puis aimé,
    Moi qui n’étais plus rien que l’ombre du passé.
    J’errais hors du monde et proche de trépasser,
    Tu m’as ouvert les yeux, réappris à aimer.

    Tu es à la fois feu de Bengale et de joie,
    La terre fertile où s’épanouissent les blés,
    L’eau pure du torrent ou celle des glaciers,
    L’air enflant mes poumons, t’ayant toujours en moi.

    Le soleil enchanteur nous invite à l’éveil
    Tu es là contre moi endormie, rassasiée
    D’amour, de tendresse, ton visage extasié,
    Nos corps nus enlacés s’épousent à merveille.

    Ta tignasse défaite proclame ta victoire,
    Nos ébats torrides ont enflammé nos corps,
    Draps et lit ravagés s’en souviennent encore
    Des combats de la nuit, tu as conquis la gloire.

    La fatigue d’hier n’a laissé nulle trace.
    A peine réveillés, nous replongeons sans crainte
    Dans la plus profonde et la plus intime étreinte,
    Vers la petite mort et sans demander grâce.

    Cet amour fusionnel des premiers temps échu,
    Sachons le raviver tel un feu assoupi,
    Redorons son blason et dans un grand youpi !
    Remercions les cieux qu’il n’ait nullement déchu.


    25 mars 2009

    Roman, Les Trois Vies de Lucie, Iegor Gran, 2006, P.O.L.

    Après quinze ans de mariage, Lucie et André sont au bord du gouffre. Un crime se prépare !

    Le style est vif, ironique, pétillant.

    "Au moins je ne suis pas mou, pensa-t-il,. Au moins, j'essaye de réagir. Et je vais y arriver.
    Je sens que ça vient. Ces derniers jours, je vois comme un renouveau. (...)"

    L'auteur a aussi publié, aux éditions P.O.L. Ipso Facto, Acné festival, Spécimen mâle, Le Truoc-nog
    O.N.G.
    (grand prix de l'humour noir 2003 et Prix Rive-droite, Rive gauche 2003).


    22 mars 2009

    Des auteur-e-s à Asnières/seine, Hauts de Seine

    Dans le cadre de la journée du livre, la mairie d'Asnières/seine organise tous les ans diverses activités. Les auteurs ont pu rencontrer leurs lecteurs ce jour et le maire a remis le Prix de la Ville  sur le thème du voyage.                                                         

    Parmi les nominés, PrixAsni_res

    c'est Patrick Deville

    qui, avec son roman

    Equatoria, 2009

    publié chez Seuil

    a remporté le prix.

    21 mars 2009

    Concours, Ame soeur, Jean-Philippe HERBAUT

    Aujourd'hui, en catégorie Amitié, un poète du Sud de la France évoque le Grand Nord... Merci à lui.

    AME SOEUR

    Elle vit en Acadie, au pays du grand Nord.
    Depuis l'année du bac, je l'ai perdue de vue,
    Nous filions nos chemins, sans nous être revus,
    De cet oubli honteux, j’en gardais grand remord. 

    Par la magie du net, j’ai retrouvé sa trace.
    Emprunts d'un même élan, nous retissons les liens
    Trop longtemps distendus, sans quoi la vie n'est rien;
    Pour ces retrouvailles aux cieux nous rendons grâce.

    Nous communiquons par dialogues épistolaires,
    Confessant l’un à l’autre l’état de nos âmes,
    Des élans mystérieux m’a confié le sésame,
    Elle est ma lumière, mon étoile polaire.
     

    J’espère conserver à l’âge canonique,
    Cette âme fraternelle à jamais relié
    Comblant d’aise mon humanité. J’oubliais,
    Elle a comme doux nom celui de Véronique.


    21 mars 2009

    Les marais d'Olonne, suite

    Un ballet d'ailes blanches frappe l'air en cadence

    Un choeur inharmonieux - cris aigus et stridents

    précèdent dans le soir un bienfaisant silence

    la terre se fait paisible après un ouragan.


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